Le choix d’être végétarien ou végétalien est le droit de chacun. Cependant, ce que les études montrent bien cette notre envie de manger des aliments d’origine animale comme la viande et le poisson.
Le cerveau des végétariens pense-t-ils aussi que ces aliments sont mauvais ou y a-t-il un instinct inscrit au cours de notre évolution qui ne s’efface jamais malgré les choix personnels de chacun ?
Partagez cette vidéo et dites-moi ce que vous pensez dans les commentaires 🤗
Une super belle journée à nous tous ! Je vous embrasse fort 😘
Renata
Peut-être que vous préférez lire qu’à regarder des vidéos ? Super, car juste ci-dessous vous allez trouver exactement ce qui vous convient :
Voici la Transcription Complète :
Et bien, être végétarien ou végan est un choix et une décision de vie qui n’appartient qu’à la personne concernée.
Mais est-ce que notre cerveau est aussi aligné avec ces choix de vie ?
Je vais vous montrer une étude fort intéressante qui parle justement de cela.
Si ce genre d’informations vous intéresse, laissez-moi déjà votre pouce en l’air car cela est très important pour moi et commençons tout de suite la vidéo d’aujourd’hui !
Bonjour à vous, 138 mille personnes incroyables qui suivent cette chaîne ! Comment allez-vous ? J’espère que vous allez tous super bien 🙂
Si vous ne me connaissez pas encore, je suis Renata Barcelos, fondatrice de maigrir définitivement.fr, membre de la nutrition network et la responsable de la méthode et du code maigrir définitivement en France
Mais plus important que cela est que je suis ici toutes les semaines, sans faute, de façon claire et directe, pour partager avec vous les vérités sur la perte de poids, la santé et un style de vie sain, le tout basé à 100% sur le meilleur de la science !
Et aujourd’hui nous allons parler de ces choix que nous pouvons faire dans notre vie comme au sujet du végétarisme ou du véganisme et comment notre cerveau se trouve au millieu de tout ça
Et ce n’est pas une surprise pour personne et l’histoire, l’anthropologie et la science nous montrent avec des faits incontestables que nous, les humains, sommes depuis des milliers et des milliers d’années d’évolution ce que nous appelons super prédateurs.
et cela veut dire que la plupart de ce que nous consommons, des calories que nous consommons, depuis toujours, a été d’origine animale
je suis même en train de préparer une vidéo justement sur cela, sur le fait que, nous, êtres humains, sommes faits pour manger de la viande
Mais voilà, nous voyons cette propagande croissante de l’alimentation végétarienne ou végétalienne… et le pire encore, avec des promesses irréelles que ces alimentations sont saines pour nous en tant qu’espèce
La désinformation et le manque d’intégrité sont gigantesques et beaucoup se font avoir en excluant les aliments d’origine animale de leur alimentation – et cela peut-être parce que les personnes ignorent le fait que les micronutriments des plantes ne sont pas absorbés par notre corps comme les aliments d’origine animale… ou alors parce qu’ils ignorent l’évolution de notre espèce.
J’apprécie beaucoup de faire confiance à la connaissance inné que nous avons en tant qu’espèce… notre évolution en tant qu’espèce, notre histoire et développement.
Nous devons nous fier à nos instincts, à toute cette évolution que nous avons en nous, dans cette nature humaine – et donner moins d’attention aux propagandes qui sont prêtes à tout pour faire passer leur message – et cela de la part des médias, même certaines consignes officielles, des milliardaires qui essayent de nous faire culpabiliser etc..
Mais, peu importe ce que nous choisissons de croire et quel chemin nous décidons de prendre, notre cerveau répond instinctivement à certains aliments, vous le saviez ?
Est-ce que notre cerveau est aligné avec nos choix ?
Je vais partager avec vous une étude qui a été publiée il y a peu de temps à l’université de Padova, en italie
Et dans cette étude ils voulaient observer si le cerveau des participants suivait leurs choix alimentaires ou bien s’il y avait une réaction instinctive et évolutive même de la part du cerveau, un choix différent de celui rationnel pris par les participants.
Et dans la littérature scientifiques il y a déjà eu des nombreuses études qui ont déjà justement analysé cela, et avant que je vous montre cette dernière, je vous montre l’une des plus anciennes, de 1997
Dans cette étude, ils ont trouvé certains faits intéressants entre des végétariens pour des raisons de santé et des végétariens par des raisons morales.
Et voici ce qu’il ont trouvé :
Comparés aux végétariens pour des raisons de santé, les végétariens moraux trouvent la viande plus dégoûtante
Cependant, contrairement à notre prédiction, le goût pour la viande est à peu près le même chez les végétariens de moralité et ceux pour des raisons de santé.
C’est intéressant car lorsque les personnes ont une motivation morale, quand l’on croit que le végétarisme est mieux pour la planète ou pour les animaux, il y a un plus grand mépris par la viande.
Je sais très bien de quoi je parle… j’avais un dégoût gigantesque par la viande… (et pour tous ceux qui la consommaient, bien entendu).
Plus vos motivations sont morales, plus vous tendez à être dégoûté par la viande et tout aliment d’origine animale que les végétariens qui décident de devenir végétariens pour des questions de santé simplement.
Mais en fin de comptes, comme nous montre cette étude, les deux apprécient la viande de façon similaire malgré ce mépris cognitif plus important.
Donc, allons voir cette nouvelle étude dont je vous parlais, qui en plus de mesurer la réaction cognitive, selon le choix des participants, ils ont aussi analysé la réponse neurale – comment le cerveau se comporte quand il est confronté à des aliments végétariens et non végétariens.
Dans cette étude, il y avait 24 personnes végétariennes et 21 personnes omnivores… et puis, ils ont demandé à ces participants combien ils ressentaient d’appétit, de faim, comment elles se sentaient quand les chercheurs leur montraient des photos d’aliments d’origine végétale et d’origine animale – comme les viandes et poissons
Et voici ce qu’ils ont trouvé :
Nos résultats suggèrent que, chez les végétariens, l’aversion envers la nourriture non végétarienne prévaut au niveau subjectif et est cohérente avec leurs croyances personnelles. En revanche, au niveau neuronal, la saillance motivationnelle intrinsèque de ce type d’aliment est préservée.
En d’autres mots, ils affirment que quand les personnes disent à quel point ils ont envie ou non de consommer un certain aliment, (combien ce certain aliment stimule son appétit).
Donc, quand on demande à un végétarien combien il a de l’appétit en regardant une photo d’un steak, par exemple… eh bien, leur réponse paraît être bien aligné avec leur préférence
Par exemple, un végétarien n’aura pas forcément faim et envie de manger en regardant la photo d’une belle viande… ils ne sentent pas attirés par ces aliments d’origine animale, tout simplement
Tandis que les omnivores sont plus enclins à affirmer sentir plus faim, plus d’appétit en regardant des photos d’aliments d’origine animale et cela est donc normal. Cette réponse est alignée à la croyance que ces personnes ont, tout simplement et tout logiquement.
Mais la partie la plus intéressante est justement la deuxième partie – les chercheurs affirment que lorsqu’ils mesurent l’activité neuronale – la réponse intrinsèque et motivationnelle du cerveau est la même dans les deux groupes car le cerveau répond de façon égale, de la même façon dans les deux groupes
Et ils continuent :
Ces données peuvent suggérer que chez les végétariens, la pertinence biologique de la viande et du poisson prévaut malgré l’aversion rapportée.
Et cela est vraiment intéressant… Ils affirment que pour notre cerveau, ces aliments d’origine animale comme les viandes et les poissons ont, probablement, une pertinence biologique – et cela veut dire que c’est quelque chose de très fort, imprimé en nous tout au long de notre évolution – dans nos instincts. Ces types d’aliments sont extrêmement précieux pour nous, tellement que cette motivation intrinsèque est maintenue malgré l’aversion rationnelle – que les personnes se convainquent qu’elles n’aiment pas ces aliments.
Et ils continuent :
Les végétariens rapportent moins d’appétit, d’envie et de plaisir par rapport à la viande et au poisson que par rapport aux omnivores…
Cependant, leur activité neuronale a montré la même motivation intrinsèque saillante pour les deux aliments, similaire aux omnivores.
En fait, les valeurs autodéclarées sont des processus cognitifs, reflétant directement les croyances et les attitudes, ainsi que les préférences individuelles plutôt que la signification motivationnelle intrinsèque de la nourriture.
Par conséquent, il est possible que l’attitude des végétariens envers les aliments non végétariens soit conduite par des processus cognitifs pour réduire l’attirance pour ce type d’aliments.
En d’autres mots, ce qu’ils sont en train d’affirmer est que les personnes se convainquent qu’elles n’aiment pas la viande ni les poissons selon des choix personnels, lesquelles ils soient – mais à un niveau neural, selon les stimulus du cerveau –
Notre cerveau est encore attiré par ces aliments, indépendamment de nos choix personnels – et l’hypothèse est que cela est dû à cette pertinence biologique – l’importance biologique que ces aliments ont pour la santé humaine
Et en termes nutritionnels, ces aliments extrêmement précieux car ils contiennent tous les micro nutriments essentiels (vitamines et minéraux) essentiels pour nous, êtres humains.
Comme le macronutriment le plus important qui sont les protéines – avec tous ses amino acides complets – avec un ratio optimal et hautement biodisponibles – et donc, nous savons cela à un niveau nutritionnel – c’est intéressant de voir que nos instincts – que notre corps (quand on ne le dérange pas avec notre rationalité) sait ce qui est bon pour lui, instinctivement.
Et c’est justement pour cela que je parle autant de l’alimentation forte – le concept de cette alimentation qui a une bonne ingestion, une ingestion suffisante de ces protéines de haute qualité et puis, complémenté comme vous le souhaitez et selon vos objectifs et votre santé métabolique
Et en même temps, je me positionne contre une alimentation exclusivement végétale et cela pour de nombreuses raisons et l’une d’elles est justement celle-ci, que notre cerveau a été programmé pour apprécier et être attiré par les viandes – malgré les choix que nous faisons –
mais comme je l’ai dis au tout début de cette vidéo, ces choix n’appartiennent qu’aux personnes concernées, nous faisons nos choix librement et nous avons le droit de les faire – je ne prétend pas vouloir changer l’avis de personne, je suis ici juste pour montrer au moins, un côté de l’histoire
Et quand vous avez une alimentation forte, avec une ingestion suffisante d’aliments d’origine animale et en complémentant cette alimentation selon les préférences de chacun et en ne se concentrant que sur la qualité des aliments, et non pas en comptant les calories etc, vous verrez des résultats incroyables – comme je vous montre ici à chaque vidéo
le cas de succès aujourd’hui a été laissé par
Un grand bravo à toi Jean-Michel 🙂 Merci beaucoup d’avoir partagé ce beau changement avec nous !
L’alimentation forte, fondamentalement, enlève les obstacles qui empêchent votre corps de perdre du poids de façon naturelle et saine, automatique, ce qui lui fait atteindre son poids idéal – car devinez quoi ? Le corps veut avoir son poids idéal et être le plus sain possible,
et donc, quand nous enlevons ce qui nous empêche de perdre du poids et de nous sentir bien, on l’aide et on le laisse dans une situation optimale pour atteindre ses objectifs qui sont exactement les mêmes que les nôtres
Si votre objectif est la perte de poids optimisé, sans compter les calories, sans souffrir, basé sur la science, je vous invite à découvrir mon programme de perte de poids appelé codemaigrirdefinitivement.fr
et si vous pensez qu’il peut vous convenir, venez nous rejoindre dans le groupe privé pour les participants !
Ok, je comprends que cette vidéo peut laisser certains assez énervés contre moi, je comprends… mais je ne fais que partager des faits scientifiques car je pense que c’est quand même intéressant de pouvoir avoir les deux côtés de chaque histoire, n’est-ce pas ?
Laissez-moi donc votre commentaire pour me dire ce que vous pensez de ce genre de sujets… allons voir ce qu’il va se passer ici dans les commentaires… Qu’avez-vous pensé des conclusions de ces études ? Faites-le moi savoir 🙂 Laissez-moi votre commentaire et on continue la discussion ci-dessous.
Une super belle journée à vous et à la semaine prochaine
je vous embrasse, au revoir